How to guard against insect bites (NC) – The beautiful summer weather is an open invitation for families to explore the great outdoors on adventures like camping, hiking, biking, picnicking, canoeing, fishing or even horseback riding. Unfortunately, it’s also an open invitation for pesky mosquitoes and deer ticks to leave their irritating mark on these fun-filled family outdoor activities in the form of painful, stinging bites. There’s ample reason to take every possible measure to avoid these bites even without taking into account their terrible, stinging itchiness. Fortunately, it’s never been easier to enjoy an outdoor family adventure and still have dependable protection from mosquitoes and deer ticks. Avon, the creators of the iconic Skin So Soft product line, also offers Skin So Soft Bug Guard Plus Icaridin Insect Repellent Spray II. Convenient and easy to apply, it’s available in a pump or aerosol format. Skin So Soft Bug Guard Plus Icaridin Insect Repellent Spray II provides strong and dependable repellency against mosquitoes for up to five hours and deer ticks for up to seven hours. Avon’s repellent spray uses Icaridin as its repelling agent, which is an effective alternative ingredient to DEET. Some consumers don’t like DEET repellents because they have a greasy feel and an odour, while, Avon’s insect repellent has a pleasant scent, is non-greasy, has a light feel when applied and also contains soothing ingredients like vitamin E and aloe. Icaridin has been used worldwide since 1998, and is one of the best selling active ingredients contained in insect repellent products in Europe. The Skin So Soft Bug Guard Plus Icaridin Insect Repellent Spray II is ideal protection when you want to enjoy outdoor activities like walks, evening barbeques, sunset gazes and campfires without the nuisance and concern of mosquitoes and deer ticks. It is available through Avon Independent Sales Representatives and more information can be found on www.avon.ca. www.newscanada.com
Adaptez votre plan financier à votre situation familiale La famille canadienne « type» se transforme sans doute, mais une chose demeure inchangée : chaque famille a besoin d’un plan financier qui l’aidera à gérer son argent et à réaliser ses objectifs. L’établissement d’un plan financier ne constitue pourtant que la première étape – il faut aussi le revoir régulièrement et l’adapter en fonction des changements qui surviennent dans la famille. « De nos jours, les familles sont plus complexes et plus diversifiées qu’avant; la famille nucléaire – deux parents et leurs enfants vivant sous un même toit – cède de plus en plus la place aux familles monoparentales ou reconstituées, aux couples de même sexe et aux ménages multigénérationnels», explique Lee Bennett, première vice-présidente, Planification financière, Gestion de patrimoine TD. « La situation de chaque famille étant unique, il ne peut y avoir un modèle de plan universel capable de répondre à tous les besoins.» Quel que soit le plan financier de la famille, l’important, ajoute Mme Bennett, c’est qu’il soit mis à jour régulièrement, de manière à prendre en compte des événements marquants, comme la naissance d’un enfant, l’achat d’une propriété, un changement d’emploi ou le démarrage d’une entreprise. Elle précise que les partenaires d’un couple qui se forme ou d’une famille qui se recompose, et qui ont peut-être déjà établi des plans financiers, devraient s’assurer que ceux-ci s’harmonisent de manière à tenir compte de leur nouvelle situation familiale. « Le planificateur financier peut aider les familles à élaborer un plan qui conviendra à leur situation propre et continuer à les conseiller pour qu’ils réalisent leurs objectifs financiers, poursuit Mme Bennett. Il peut aussi aider la famille à planifier en vue de certains événements de la vie qui vont probablement se produire, par exemple les études postsecondaires des enfants et la retraite.» Comme le souligne Mme Bennett, un plan financier à jour peut réduire d’éventuelles tensions au sein de la famille, car il établit la voie à suivre concernant les importantes décisions en matière d’épargne et de dépense, et il fournit une base à partir de laquelle adapter le plan en fonction des changements dans la dynamique familiale. www.leditionnouvelles.com
LA 4IÈME SAISON DE LA SÉRIE « HIT THE ICE » SERA TOURNÉE À SAINTE-AGATHE-DES-MONTS Sainte-Agathe-des-Monts, le 9 juillet 2015.- Une importante équipe de production s’amène à Sainte-Agathe-des-Monts à compter du 15 juillet pour tourner les épisodes de la 4ième saison de la populaire émission Hit the Ice diffusée sur la chaîne APTN. Le concept propose de suivre de jeunes joueurs de hockey de la communauté autochtone dans un camp d’entrainement comparable à celui de la LNH. L’équipe d’une soixantaine de personnes, incluant les joueurs, entraineurs et l’équipe de production s’installera au centre sportif Damien-Hétu pour les trois prochaines semaines. La population est d’ailleurs invitée à assister au tournage des matchs inter-équipes qui auront lieu jeudi le 16 juillet et vendredi le 17 juillet à 13h. On réserve également des surprises aux jeunes joueurs qui pourraient recevoir la visite de certains de leurs idoles durant le tournage. « Avec la venue de la production North Pole en mars dernier, fort est de constater que Sainte-Agathe attire de plus en plus l’attention des producteurs. Ses attraits, ses services, sa localisation et l’accueil que reçoivent les équipes de tournage ne sont certainement pas étrangers à la réputation que la Ville est en train de se forger dans le milieu cinématographique. Nous nous en réjouissons car les retombées sont importantes tant au niveau économique que pour le rayonnement de la Ville » mentionne le maire Denis Chalifoux. La production établira son camp de base au Collège Laurentien à Val-Morin pour la durée du tournage et devra prévoir entre autre les repas et le transport pour une soixantaine de personnes durant au moins 19 jours. La présence de production télé ou cinéma dans notre région est rendue possible grâce à la collaboration du Bureau du cinéma et de la télévision des Laurentides (BCTL) qui a pour mission de promouvoir le territoire des Laurentides à des fins cinématographiques, télévisuelles et publicitaires. Source : Brygitte Foisy, Culture et communications (819) 326-4595, poste 3322, culture@ville.sainte-agathe-des-monts.qc.ca
Une nouvelle vitrine culturelle pour tous COMMUNIQUÉ: POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Sainte-Adèle, le 8 juillet 2015 – La conseillère politique responsable de la région des Laurentides pour la ministre Christine St-Pierre, Isabelle Leblond, en compagnie de André Genest, préfet suppléant de la MRC des Pays-d’en-Haut et maire de Wentworth-Nord et Monique Monette Laroche, présidente du comité culturel de la MRC et mairesse de Sainte-Anne-des-Lacs, ont annoncé aujourd’hui le lancement officiel d’une plateforme Internet interactive vouée au tourisme culturel : laculture.ca. Ce projet d’envergure consiste à définir et à mettre en oeuvre une stratégie de communication et de promotion du tourisme culturel pour l’ensemble du territoire de la MRC des Pays-d’en-Haut. Cette plateforme a pu voir le jour grâce à une entente de développement culturel entre la MRC des Pays-d’en-Haut et le ministère de la Culture et des Communications du Québec. Concernant le tourisme, André Genest a mentionné lors de son allocution que la MRC des Pays-d’en-Haut est une destination touristique de choix, puisque le nombre de visiteurs s’élève à près de 1,4 million par année. « La vie culturelle est plus que diversifiée sur le territoire de la MRC des Pays-d’en-Haut et nous en sommes très fiers. En effet, elle a un pouvoir d’attraction très important pour une région touristique comme la nôtre, elle contribue à un sentiment de fierté et d’appartenance pour nos citoyennes et citoyens et elle enrichit leur vie de façon évidente. » Quant à Monique Monette Laroche, elle a précisé que ce projet d’envergure était préalablement divisé en deux phases, la première étant un inventaire et une analyse complète des biens, produits, lieux, attraits et événements à caractère culturel et patrimonial sur notre territoire, susceptible de servir de produits d’appels en tourisme. En termes de chiffres, on dénote donc sur les 10 municipalités constituantes de la MRC, 110 événements et festivals, 34 galeries d’art et musées, 71 lieux de diffusion, 25 entreprises et associations en arts de la scène, 12 entreprises, concours et festivals en arts médiatiques, 25 marchés, événements, circuits et ateliers en arts visuels, 26 activités en littérature, 8 bibliothèques et 29 activités et événements jeunesse. Suite à cet inventaire impressionnant et analyse approfondie, la MRC est venue au constat qu’elle avait besoin d’une meilleure stratégie de communication pour en faire une promotion efficace. Monique Monette Laroche a ajouté que l’idée d’une plateforme interactive comme laculture.ca s’est avérée être un choix évident ! Celle-ci constitue donc la deuxième phase du projet. Ana Manescu, agente de développement culturel à la MRC des Pays-d’en-Haut et responsable du projet, explique que laculture.ca est un portail convivial et rassembleur qui s’adresse tant aux citoyens, qu’aux visiteurs, qu’aux organisateurs d’événements culturels de la MRC des Pays-d’en-Haut. « Cette vitrine culturelle permettra aux résidents et aux visiteurs de la MRC de prendre connaissance de tous les événements culturels qui se dérouleront sur son territoire, et ce, tout au long de l’année. » En ce qui a trait aux catégories représentées sur cette plateforme, celles-ci sont variées. En effet, on y retrouve le patrimoine et histoire, les arts de la scène, les arts médiatiques, les arts visuels, la littérature et les événements jeunesse. Lors de la conférence de presse, la conseillère politique responsable de la région des Laurentides pour la ministre Christine St-Pierre, Isabelle Leblond, a également tenu à préciser que le soutien du ministère de la Culture et des Communications dans le développement culturel du territoire de la MRC des Pays-d’en-Haut est un levier important permettant de diversifier les interventions de la MRC par la réalisation d’actions concrètes dans les secteurs des arts visuels, des arts de la scène, des lettres, en plus de conserver les richesses patrimoniales et son identité territoriale. La MRC des Pays-d’en-Haut invite donc la population et les organisateurs d’événements culturels sur notre territoire à consulter sans tarder le site Internet laculture.ca. Source : Ana Manescu Agente de développement culturel – VVAP MRC des Pays-d’en-Haut amanescu@mrcpdh.org 450 229-6637, poste 119
Usez de prudence avec vos dispositifs numériques Pour la plupart des gens, les mesures de base destinées à protéger leur intégrité physique et financière sont une seconde nature. Ils considèrent aussi que le port de la ceinture et la protection des NIP des cartes bancaires sont des gestes sensés. Faisons-nous preuve d’autant de discernement dans nos activités en ligne? Grâce aux téléphones intelligents et autres dispositifs numériques, le nombre des opérations et activités qu’il est possible d’effectuer en quelques clics est en croissance constante. Et si on accueille à bras ouverts cette commodité mobile, il faut toutefois reconnaître les risques qui l’accompagnent. Voici quelques-uns de ces risques et les mesures simples à prendre pour vous protéger. 1. La perte ou le vol de votre appareil mobile et les renseignements personnels qui y sont enregistrés : Assurez-vous que votre appareil est protégé par un mot de passe fort; supprimez toujours l’historique de navigation des opérations bancaires en ligne que vous effectuez pour ne pas que vos renseignements bancaires tombent entre les mains d’un criminel. 2. La divulgation de votre emplacement géographique : Vous êtes tellement enthousiaste à l’idée de vos prochaines vacances que vous désirez l’écrire sur les médias sociaux! Pensez-y sérieusement avant de faire part de votre absence au monde virtuel, dont font partie des voleurs potentiels. 3. Le téléchargement de virus ou de vers informatiques susceptibles d’endommager votre appareil : Ne répondez pas à des courriels suspects et ne cliquez sur aucun hyperlien provenant de courriels douteux. Les virus et logiciels malveillants peuvent se répandre par tout ce qui est téléchargé sur Internet à l’aide de votre téléphone, par les pièces jointes et les transferts Bluetooth. En fait, même vos amis peuvent vous transmettre un lien malveillant sans s’en rendre compte. 4. Se faire arnaquer : Il n’est pas toujours facile de savoir si un courriel, un concours ou une promotion sont réels, ou s’il s’agit d’une arnaque. Soyez vigilant lorsque vous ouvrez un courriel comprenant des offres ou des promotions. Lorsque vous magasinez en ligne, le symbole du cadenas sur le site Web ou « https://» au début de l’adresse du site vous permet de déterminer qu’il s’agit d’un site sécurisé. 5. Vol de vos renseignements personnels : Méfiez-vous des courriels qui vous demandent de fournir ou de mettre à jour vos renseignements personnels en ligne. Ils ont peut-être l’apparence de communications officielles de votre banque, mais vérifiez-en la provenance avant d’y répondre. Il pourrait s’agir de cybercriminels tentant de vous amener à leur fournir vos données financières. 6. Installer des applications de sources peu fiables : Un cheval de Troie est un programme malveillant déguisé en application ou intégré dans une application. Il peut supprimer vos fichiers et subtiliser les renseignements personnels que vous inscrivez. N’installez pas d’applications de sources peu fiables qui semblent nécessiter une quantité inhabituelle de renseignements personnels à donner. Protégez-vous en vous branchant. Pour en savoir davantage, consultez le site Pensezcybersecurite.ca. www.leditionnouvelles.com
Vous méritez mieux qu’un sac de pois congelés pour soigner votre blessure (EN) Nous savons tous qu’il est très important de mettre de la glace sur une blessure dès que possible, mais dans plusieurs circonstances, c’est un geste encombrant ou gênant à faire. La méthode R.G.C.E (repos, glace, compression et élévation) est une recette familière pour soigner une inflammation, une contusion, une douleur musculaire ou une entorse. L’utilisation de la glace et la compression sont deux éléments importants de cette formule, mais cette combinaison est souvent difficile à intégrer dans une vie active. Examinons une solution alternative simple et de plus en plus populaire. « Dr. Cool est le premier et le seul bandage en tissu souple qui combine la glace et la compression et qui est facile à utiliser », explique Rick Schaly, qui a contribué à introduire au Canada ce produit conçu aux États-Unis. « Ce bandage utilise un tissu ‘Coolcore’ exempt de produits chimiques qui gèle en seulement 20 minutes ; de plus, il permet d’effectuer une thérapie de glace de 15 à 50 minutes selon l’épaisseur du tissu que vous choisissez, sans qu’il se produise un dégoulinement ennuyeux durant le dégel. Dr. Cool procure 360 degrés de compression froide, alors qu’un sachet de glace traditionnel ne couvre qu’une surface limitée. Dr. Cool peut également être utilisé comme bandage de compression à sec pour soutenir ou protéger diverses parties du corps durant une activité, permettant ainsi de réduire le temps de récupération.» Schaly souligne que les bandages sont disponibles en plusieurs couleurs à la mode. Ils sont lavables et faciles à trouver dans les pharmacies et les magasins d’articles de sport. Grâce à Dr. Cool, les athlètes peuvent poursuivre une partie de leur programme d’entraînement malgré une blessure, tout comme un sportif de fin de semaine peut avoir besoin de glace pour poursuivre sa récupération en revenant au travail. Pour d’autres personnes, comme les livreurs de messagerie, les travailleurs de la construction ou les culturistes, le produit peut les aider à poursuivre leur journée de travail tout en ayant de la glace et de la compression sur leur membre blessé. « Dr. Cool est un fantastique bandage de glace qui vous aidera à obtenir la glace et la compression dont vous avez besoin, quand vous en avez besoin », poursuit Schaly. « Il est tellement mieux qu’un sac encombrant de petits pois surgelés ou un sac en plastique rempli de glace. C’est vraiment la récupération dans l’action». Schaly exploite également Trainers Choice, une entreprise de produits de médecine sportive ainsi qu’une chaîne renommée de cliniques de médecine sportive qui fournissent des services de physiothérapie et de thérapie athlétique. Schaley vous recommande de consulter un physiothérapeute ou un thérapeute du sport afin d’évaluer la nature de votre blessure et son traitement. Plus de renseignements sont disponibles à trainerschoice.ca (en anglais seulement) et drcoolrecovery.com (en anglais seulement). www.leditionnouvelles.com
Apprenez la cybersécurité à vos enfants Les jeunes Canadiens grandissent aujourd’hui dans un monde numérique. Toute leur enfance, ils sont appelés à utiliser des ordinateurs, des caméscopes, des téléphones cellulaires, des consoles de jeux en ligne et Internet. Les communications par voie numérique font partie intégrante de leur vie et bon nombre d’entre eux ont une adresse électronique, et sont abonnés à des réseaux sociaux avant même d’entrer au secondaire. Leurs téléphones cellulaires servent à envoyer des messages textes, à prendre des photos et à envoyer le tout à des amis. Les activités en ligne peuvent permettre aux enfants de vivre des expériences tout à fait enrichissantes. En fait, de nombreux avantages du point de vue éducatif sont associés à Internet, mais c’est aussi un outil qui peut être dangereux. Ce monde hyper-connecté est caractérisé par de nouvelles menaces qui apparaissent constamment, en particulier parce que les données enregistrées le sont de façon permanente. Ainsi, tout ce que vos enfants disent, affichent et partagent en ligne aujourd’hui peut refaire surface et leur causer toute une surprise une fois qu’ils atteindront l’âge adulte. Nous disons à nos enfants de regarder des deux côtés avant de traverser la rue, et nous leur recommandons de ne pas parler aux étrangers, mais il faut aussi leur enseigner à utiliser Internet en toute sécurité, ce qui est aussi important. Souvent les parents ne connaissent pas les récents dangers liés à l’utilisation d’Internet, ou ne savent pas vraiment ce que leurs enfants font lorsqu’ils sont en ligne. Rassurez-vous : il existe des endroits fiables où vous trouverez les renseignements dont vous avez besoin. Voici, pour commencer, quelques conseils pour faire en sorte que vos enfants soient informés et protégés : • Apprenez à connaître les sites Web que vos enfants utilisent, et montrez-leur ce qu’ils doivent faire s’ils tombent sur un contenu inapproprié. • Discutez avec eux des répercussions d’un affichage de photos inappropriées, en leur mentionnant que la diffusion d’observations désobligeantes sur des personnes peut détruire une réputation ou mettre fin à une amitié. • Rappelez-leur qu’Internet est un lieu public et que toutes les données sont conservées. Ce qu’ils font ou divulguent sur des sites peut avoir des conséquences plus tard. Rappelez à vos enfants de ne pas faire confiance aux étrangers et donnez-leur des conseils de cybersécurité. Montrez l’exemple et enseignez à vos enfants comment utiliser Internet en toute sécurité. Protégez-vous en ligne. Pour en savoir davantage, consultez le site PensezCybersecurite.ca. www.leditionnouvelles.com