Montrez à vos proches toute votre affection avec des biscotti maison (EN) Les meilleurs aliments font souvent les plus irrésistibles présents. Cette année, répandez la joie des Fêtes dans le cœur d’un ami, d’une voisine ou d’un collègue en lui apportant un panier festif rempli de biscotti frais, croustillants et au goût du jour qui sortent directement du four. Emballez ces délicieux biscuits dans une boîte décorative et attachez-y la recette manuscrite afin que leur destinataire puisse à son tour en faire. Légèrement sucré avec de la stevia de source naturelle, personne ne pourra deviner que ces petites attentions ne contiennent que 83 calories par portion. Biscotti aux canneberges et citron Donne 24 portions Ingrédients : 550 ml (2 1/4 tasses) de farine tout usage 250 ml (1 tasse) de Pure Via granulé* 250 ml (1 tasse) de canneberges séchées 30 ml (2 c. à soupe) de zeste de citron 3 gros oeufs 45 ml (3 c. à soupe) de beurre, fondu 30 ml (2 c. à soupe) de jus de citron frais 10 ml (2 c. à thé) de vanille Mode de préparation : 1. Préchauffer le four à 180 ° C ( 350 ° F). 2. Combiner la farine, le Pure Via, les canneberges, le zeste de citron et la poudre à pâte. Dans un autre bol, bien mélanger les œufs, le beurre, le jus de citron et la vanille en fouettant. 3. Verser les ingrédients liquides sur les ingrédients secs. Bien mélanger à l’aide d’une spatule en caoutchouc, jusqu’à ce qu’une pâte ferme se forme. Déposer sur une surface enfarinée et incorporer en pétrissant tout reste de pâte. Diviser la pâte en deux. Former une bûche de 12 x 1 ½ pouces avec chaque moitié. Déposer sur une plaque à biscuits recouverte de papier parchemin, en prenant soin de laisser un espace de trois pouces entre les bûches. Aplatir le dessus de chaque bûche avec la paume de la main jusqu’à ce qu’elle ait une largeur de deux pouces. Cuire de 23 à 25 minutes ou jusqu’à ce que le dessus de chaque bûche soit ferme au toucher. 4. Laisser refroidir les bûches complètement sur la plaque à biscuits déposée sur une grille. 5. Réduire la température du four à 150 ° C (300 ° F). Transférer délicatement les bûches refroidies sur une planche à découper. Couper chacune en diagonale pour former des tranches de ½ pouce de largeur. Déposer sur la même plaque à biscuits recouverte de papier parchemin. Cuire de 15 à 18 minutes ou jusqu’à ce que les tranches soient sèches et légèrement dorées. Laisser refroidir sur la plaque à biscuits déposée sur une grille. Conserver à température ambiante dans un contenant au couvercle hermétique. * Équivaut à 24 sachets de Pure Via granulé. Vous trouverez d’autres idées de desserts à purevia.ca.Notez que la stevia, l’édulcorant dans le Pure Via, est aussi connue sous le nom de glycosides de stéviol. Valeur nutritive par portion (2 biscotti) : Calories : 83, Lipides : 2 g, Cholestérol : 27 mg, Sodium : 68 mg, Glucides : 15 g, Protéines : 2 g www.leditionnouvelles.com
10 conseils de sécurité pour votre nouvelle demeure (EN) – Il peut être excitant de déménager dans un nouveau quartier, mais les tâches pour transformer une nouvelle maison en un chez-soi douillet sont nombreuses. Selon les experts en la matière, il est important de ne pas oublier la sécurité résidentielle. Les enquêtes policières démontrent que bon nombre d’intrus possèdent une clé de la demeure qu’ils cambriolent. Dites-vous que plusieurs personnes possèdent probablement une clé de votre nouvelle demeure. C’est pourquoi il est tout aussi important de changer la serrure de la porte d’entrée que d’accrocher les rideaux, placer les meubles et acheter des accessoires décoratifs. Voici une liste de 10 conseils de sécurité, offerts par Schlage, un leader en matière de serrures sécuritaires pour les portes : 1. Inspectez toutes les portes et fenêtres pour vous assurer que les cadres sont robustes et fiables. S’ils sont endommagés, faites-les réparer. 2. Remplacez les serrures extérieures par des pênes dormants et un ensemble de poignée et serrure d’entrée de pointe. Les nouveaux pênes dormants avec écran tactile homologués ANSI (classe 1) fonctionnent avec un code qui verrouille et déverrouille automatiquement la serrure, et ce, sans clé. En plus du verrouillage automatique, cette serrure comprend une alarme intégrée, un boitier qui offre une résistance maximale aux coups de pied et un bouclier anticrochetage. De plus, ce pêne dormant électronique fait preuve d’intelligence. Si vous le synchronisez à la technologie Z-wave, vous obtiendrez un menu de contrôles résidentiels pour vos appareils reliés à l’Internet. 3. Faites le tour de la nouvelle maison de façon approfondie afin de repérer les cadres de portes brisés ou usés, les serrures de fenêtres instables, et les serrures brisées. Sachez que même les serrures les plus sophistiquées peuvent être abordables. 4. Si la demeure possède un système d’alarme, changez les codes d’accès et avisez l’entreprise qui assure le service que vous êtes les nouveaux propriétaires. Saviez-vous que les pênes dormants électroniques les plus performants contiennent une alarme intégrée ? Consultez le site schlage.com. 5. Faites le tour du jardin à différentes heures de la journée pour voir où sont les parties plus sombres, pour juger de l’efficacité de l’éclairage extérieur comme dissuasif, et pour évaluer la sécurité des différentes portes d’entrée. 6. Installez des lumières avec capteur de mouvement ou qui s’allument du crépuscule jusqu’à l’aube pour dissuader les criminels pendant que vous dormez. 7. Taillez les arbres et les buissons pour empêcher les cambrioleurs de s’y cacher. Entreposez vos échelles dans un garage verrouillé. 8. Embauchez uniquement des professionnels accrédités pour faire des travaux sur votre maison. Demandez à voir leurs titres de compétences ainsi que des références. 9. Assurez-vous de placer les numéros de téléphone à composer en cas d’urgence à un endroit facile d’accès. 10. Joignez-vous au programme de surveillance de votre quartier. www.leditionnouvelles.com
L’achat local : un choix qui soutient la prospérité des quartiers (EN) La technologie a complètement transformé nos habitudes d’achats. Il est maintenant possible de se procurer tout ce dont on a besoin par un simple clic de souris. La valeur des achats en ligne des Canadiens a atteint 18,9 milliards de dollars en 2012, soit une augmentation de 24 % par rapport à 2010, selon Statistique Canada. Pourtant, nos choix de consommation ont un impact majeur sur notre vie quotidienne. «Il est importe de rappeler que l’achat local permet de contribuer au dynamisme de nos quartiers, à la prospérité des commerçants qui s’y retrouvent, et à la vitalité des communautés», explique François Ramsay, premier vice-président, affaires corporatives chez Pages Jaunes, une entreprise canadienne de solutions marketing et médias numériques qui offre des solutions de marketing aux petites entreprises canadiennes. Les dollars des consommateurs peuvent avoir une force de frappe importante à l’échelle locale et engendrer des retombées positives. En effet, les petites entreprises créent de l’emploi, réinvestissent dans la communauté, et font en sorte de conserver le pouvoir décisionnel localement, ce qui contribue au dynamisme et à la vitalité de quartiers sains et prospères. D’ailleurs, différentes communautés et associations de commerçants mettent en œuvre des campagnes de sensibilisation pour faire valoir l’importance de l’achat local. Plusieurs se limitent à des régions spécifiques, mais certains mouvements prennent de l’ampleur, comme Mes achats, mon quartier, qui se déroulera cette année à l’échelle nationale le 29 novembre; lors ce cette journée, les résidents seront encouragés à effectuer au moins un achat auprès d’une petite entreprise.. Pour savoir comment participer en tant qu’entreprise ou résidents afin de soutenir les commerçants de votre quartier, visitez le mesachatsmonquartier.ca . www.leditionnouvelles.com
Louise Bloom, artiste multi-disciplinaire Louise Bloom, né en 1947 à Montréal, a commencé à suivre des cours au Musée des beaux-arts de Montréal à 12 ans, et est entré dans le premier programme de baccalauréat en beaux-arts offerts par l’Université Sir George Williams quand elle avait 16 ans. Bloom a commencé une carrière artistique professionnelle à part entière en 1987, de cultiver son amour de la gravure à l’Atelier de l’Ile à Val David, QC. Au cours de 25 ans de pratique dévouée, elle a développé des compétences qui lui ont valu à un artiste multi-disciplinaire. Bloom peint à l’huile, crée en mixed media, écrit de la poésie et enseigne le yoga et la méditation; Elle a également entraîneurs artistes dans les compétences de la vie, et soutient leur processus créatif. Louise Bloom parle de son travail: Demandes de gravure se concentrent, de la planification, de la précision, de l’intuition, de la recherche, la conservation, ainsi que l’étude de nouvelles technologies afin de générer la surprise magique de l’impression elle-même. La discipline a été un terrain d’entraînement pour perfectionner mon parcours personnel et m’a apporté ces idées libératrices; Je suis en mesure d’aborder la toile de joie et d’abandonner. Collections d’impression Mes œuvres sur papier – eaux-fortes et lithographies – explorent l’image comme un narratif ainsi que le pouvoir des archétypes. Les séries sont peuplées de symboles iconiques qui se répètent, tout en présentant chaque fois une variante, s’inspirant du code génétique qui évoque à la fois la trace de la continuité et la perspective de la mutation. Livres d’artistes Bien que les technologies actuelles remettent en question les conventions du livre traditionnel, le « livre d’artiste » en tant que forme d’art connaît une popularité grandissante. Pour une artiste comme moi, qui s’attache à la forme comme métaphore, le livre d’art est un véhicule de choix. En soulignant la matérialité du texte, j’importe dans l’art visuel les dimensions de texture et d’esthétique du langage. Le livre d’artiste est par conséquent un genre artistique intuitif qui me permet d’explorer le jeu symbolique entre le texte et l’image. Peinture Je comprends l’expérience humaine comme vulnérables en temps. Je cherche à dépeindre ce qui est fragile et éphémère. Je inspored par la sensibilité des grands portraitistes, tels que Rembrandt et Vermeer, qui utilisé techniques délibérés exigeants. En générant des portraits intimes – qu’ils soient nostalgique, archétype, ou surréaliste – je cherche à animer la mémoire et de féconder le présent. Louise Bloom a créé tout un ensemble de tableaux et d’estampes réinterprétant le monde fabuleux de l’univers de Lewis Carroll. Aujourd’hui, elle combine avec finesse et intelligence poésie et arts visuels autour de l’iconographie de cette chère Alice au pays des merveilles emmêlant ses propres souvenirs d’enfance puisque c’est avec son père qu’elle découvrit ce monde extravagant. Les images mixtes qu’elle développe s’emmêlent entre elles au gré de ses peintures, ses gravures, ses planches de livre d’artiste dans cette aventure extraordinaire et déraisonnable où se bousculent l’imaginaire et le réel, le merveilleux et le quotidien, l’absurde et le sensé, l’onirisme et la logique. Les chassés-croisés ironiques s’y multiplient en même temps que des jeux de perception s’accumulent et que les réflexions s’inversent et altèrent notre regard sur ce monde en transformation, de plus en plus inquiétant. Des perspectives illusoires faussent la réalité comme les jeux de miroir dédoublent et troublent les limites de la représentation. À l’heure du désastre écologique, le procès de la représentation soulève bien des questions : quelle finalité pour notre monde, de l’autre côté du miroir?Manon Régimbald Directrice artistique du Centre des arts contemporains du Québec à Montréal Contact: Site web : www.louisebloom.com louisebloom@me.com 450-560-1317
Il existe des ressources fiables pour aider à choisir un service de garde (EN) Choisir une garderie peut être une tâche pénible. Parfois, les options semblent limitées, d’autres fois, c’est l’embarras du choix. Vous cherchez, dans votre quartier, un service de garde municipal, privé ou en milieu familial? Peu importe, il y a plusieurs choses qu’un parent devrait savoir ou chercher à savoir. S’il importe de se renseigner sur une garderie et sur son personnel, et beaucoup de parents sont d’accord là -dessus, cela pourtant ne se traduit pas toujours dans les actes. En effet, un récent sondage mené auprès de parents de l’Ontario pour le compte de l’Ordre des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance (OEPE) de l’Ontario montre que seul un (1) parent sur 10 cherche à se renseigner sur les antécédents professionnels de l’éducateur qui s’occupera de son enfant. « C’est seulement ces dernières années que les parents sont rassurés de savoir que l’éducatrice ou l’éducateur s’occupant de leur jeune enfant est un professionnel inscrit qui doit rendre compte de ses actes – ce qui est actuellement la situation en Ontario», déclare Sue Corke, registrateure et chef de la direction de l’OEPE. « L’Ordre est là pour s’assurer que tous les éducatrices et les éducateurs de la petite enfance inscrits (EPEI) ont les qualifications requises et qu’ils exerceront la profession conformément aux normes déontologiques et professionnelles établies. Il s’assure aussi que les parents ont directement accès aux antécédents professionnels de tous les éducateurs inscrits.» Les parents peuvent notamment se rendre au site Web www.edu.gov.on.ca/gardedenfants/steps.html du gouvernement de l’Ontario pour voir une liste de points à considérer pour la recherche d’un service de garde. Voici déjà quelques questions qui vous aideront à réduire la liste : • Depuis combien de temps la garderie opère-t-elle, et quelles sont les années d’expérience de son personnel? • La garderie compte-t-elle une éducatrice ou un éducateur de la petite enfance sur place? • Quel est le contenu du programme destiné aux enfants? • Comment l’information au sujet du développement de votre enfant vous sera-t-elle communiquée? • La garderie a-t-elle des procédures de sécurité conformes? Lesquelles? Le fait de visiter en personne les locaux afin de s’assurer que l’endroit est sécuritaire et à la hauteur des attentes aidera les parents à prendre une décision. Ces derniers peuvent aussi consulter le tableau public en ligne que l’OEPE met à leur disposition à ordre-epe.ca/tableaupublic pour se renseigner sur une ou un EPEI, vérifier notamment son statut de membre auprès de l’OEPE et ses antécédents professionnels. www.leditionnouvelles.com
Qualité de l’eau de baignade – La plage Jean-Guy-Caron de Sainte-Adèle obtient une cote A Un premier échantillonnage des eaux de baignade prélevé le 26 juin dernier à la plage municipale Jean-Guy-Caron a permis à la Ville de Sainte-Adèle d’obtenir la cote A pour la qualité de son eau. C’est dans le but de s’assurer de la qualité bactériologique des eaux de baignade de sa plage publique que la Ville de Sainte-Adèle a, une fois de plus cette année, souscrit au programme Environnement-Plage du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques. D’autres analyses sont prévues tout au long de la saison estivale et les résultats seront affichés à la plage, sur un panneau prévu à cet effet. Un oasis au cœur de la Ville La chaleur et l’humidité des derniers jours ont incité de nombreux baigneurs à fréquenter la plage Jean-Guy-Caron qui, avec de tels résultats, promet d’être le rendez-vous par excellence des vacanciers pour les semaines à venir. Le splendide lac Rond demeure un des plus beaux attraits naturels de la Ville de Sainte-Adèle et les citoyens comme les villégiateurs peuvent en profiter pleinement lors de la saison estivale. Outre la baignade, on peut également procéder à la location d’embarcations dont des pédalos, kayaks simples ou doubles, canots ou chaloupes. Si la température le permet, la plage est ouverte tous les jours de 10h à 19h et ce, jusqu’au 29 août. L’accès est gratuit pour les résidents sur présentation de la carte citoyenne et pour les non-résidents, la tarification journalière suivante est en vigueur : • Enfant de moins de 5 ans : 2 $ • Enfant de 5 à 14 ans : 6 $ • Adulte de 15 à 59 ans : 9 $ • Âge d’or 60 ans et + : 7 $ La Ville de Sainte-Adèle invite les citoyens et les villégiateurs à profiter pleinement de la plage Jean-Guy-Caron cet été et souhaite bonne baignade à tous ! Ville de Sainte-Adèle 1381, boulevard de Sainte-Adèle, Sainte-Adèle, Québec, Canada, J8B 1A3
Le psoriasis rend la vie dure à un million de Canadiens (EN) Brooks Harvey est bien placé pour comprendre comment le psoriasis, une affection de la peau causant des rougeurs et des squames accompagnées de démangeaisons1, bouleverse la vie du million de Canadiens qui en sont atteints. « J’étais très jeune quand le diagnostic est tombé. Je n’avais que huit ans. En plus de subir tous les défis qu’un enfant doit relever en grandissant, j’étais aux prises avec une maladie incurable, explique-t-il. Pendant des années, je manquais de confiance et j’évitais certaines situations sociales pour cacher mon psoriasis.» Mais Brooks a fini de se cacher. Il est maintenant président de l’Association canadienne des patients atteints de psoriasis (ACPP), un groupe de soutien pour les Canadiens qui vivent avec cette maladie cutanée. Il a su trouver le courage d’en parler publiquement. Malheureusement, il n’est pas le seul à avoir mal vécu cette affection inflammatoire non contagieuse liée à une défaillance du système immunitaire. Dans un important sondage international publié récemment, et auquel ont participé plus de 3 400 personnes atteintes de psoriasis1, dont des Canadiens, 22 % des patients ont affirmé que cette maladie a une incidence majeure sur leur quotidien3. En fait, il arrive que certains souffrent de complications plus sérieuses, comme une infection, une pneumonie ou une insuffisance cardiaque congestive. Jusqu’à 30 % des patients souffriront un jour de polyarthrite psoriasique, une complication qui, en plus des éruptions cutanées, cause de la douleur articulaire et de l’œdème, des symptômes semblables à ceux de la polyarthrite rhumatoïde. Le même sondage révèle une réalité troublante : dans les 12 derniers mois, près de la moitié (47 %) des patients n’ont pas consulté de professionnel de la santé par rapport à leur affection2. Ce constat préoccupe le Dr Yves Poulin, dermatologue : « Il est important de voir son dermatologue régulièrement pour s’assurer de gérer son psoriasis le plus efficacement possible. De plus, de nouveaux traitements arrivent sur le marché, et ils peuvent contribuer à réduire les symptômes et la progression de la maladie.» Venir en aide aux Canadiens atteints de psoriasis : voilà ce qui pousse Brooks Harvey et l’ACPP à continuer leur travail. « L’ACPP n’a qu’une raison d’être, c’est d’aider ces gens à mieux vivre. Nous sommes là pour ça», ajoute Brooks. Pour en savoir plus sur le psoriasis et les moyens d’en gérer les symptômes, parlez à votre médecin ou visitez le site Web de l’ACPP au www.communautepsoriasis.ca Sources: – National Psoriasis Foundation. « About Psoriasis: Statistics», page consultée le 22 janvier 2013 : http://www.psoriasis.org/learn_statistics 2 LEBWOHL, M., H. BACHELEZ, J. BARKER et coll. « Patient perspectives in the management of psoriasis: Results from the population-based Multinational Assessment of Psoriasis and Psoriatic Arthritis Survey.», Journal of the American Academy of Dermatology, 2014. www.leditionnouvelles.com